mardi 4 octobre 2011

"La veuve de la place Saint-Pierre" (3)

LMTV sur les pas de l'inspecteur Sourbet, dans les rues du Vieux-Mans...
(Le Mans Télévision )
http://www.wat.tv/video/veuve-place-st-pierre-par-48jdd_3lzpp_.html

lundi 3 octobre 2011

"La veuve de la place Saint-Pierre" (2)

Mes rapides recherches sur Charlotte Corday m'ont fait découvrir une anecdote insolite et dramatique : saviez-vous que Charlotte Corday, la meurtrière de Jean-Paul Marat, a également concouru à l'exécution du paisible citoyen Loison ainsi que de sa femme ? 
Rassurez-vous ! Je suis toujours bien vivant ! Les époux Loison en question dirigeaient pendant la Révolution un théâtre de marionnettes sur les Champs-Elysées... Lisez la suite de cette triste histoire dans les deux extraits ci-dessous (double cliquer sur les images) :
... le réquisitoire du sinistre Fouquier-Tinville à leur encontre fut "hallucinant" :
Le nom de ces deux malheureuses victimes est gravé sur une plaque commémorative dans la grande salle de la Conciergerie, avec des milliers d'autres...
Restons dans la famille : à la même époque, puis sous l'Empire, s'est illustré un autre Loison : un général de division, fait comte par Napoléon 1er. Hélas ! un triste sire, même si son nom est gravé sur l'Arc de Triomphe en tant que général de l'Armée d'Espagne. Sur son portrait, il semble amputé des deux bras ; en réalité, il lui en restait un : il avait perdu l'autre dans un accident... de chasse !

dimanche 2 octobre 2011

"La veuve de la place Saint-Pierre"

L'Histoire nous dit que Sanson a coupé la tête de la reine Marie-Antoinette et que Charlotte Corday a poignardé Jean-Paul Marat. Jusqu'au 2 juillet 1989, l'ex-inspecteur Sourbet en était convaincu... comme les 85 000 participants travestis aux fêtes du Bicentenaire de la Révolution qui assistaient à la reconstitution de ces moments tragiques... Mais l'Histoire ne se répète pas, et ce jour-là, sans que personne ne le remarque, pas même Sourbet pourtant au premier rang, ce sont deux autres meurtriers qui agiront ! Deux assassinats "incognito" devant des milliers de spectateurs, voilà qui n'est pas banal ! 
Ne soyez pas surpris si vous ne reconnaissez pas l'inspecteur dans les rues du Vieux Mans : pour l'occasion, il s'était déguisé, comme Marie-Jeanne et bien d'autres...
"La veuve de la place Saint-Pierre" réserve bien des surprises. Trouver les vrais rôles de chacun n'est pas une mince affaire quand le double-jeu. règne partout... et que les plus improbables travestis se font un plaisir de tromper leur monde !
Je vous attends samedi et dimanche prochains à la 25ème Heure du Livre, au stand des Editions Libra-Diffusio !



Une année d'écriture

2010 aura été pour moi l'année des salons du livre un peu partout en France ; 2011 aura été une année d'écriture quotidienne pour finalement "enfanter" deux ouvrages ! 
"La veuve de la place Saint-Pierre", une enquête de l'ex-inspecteur (?) Sourbet sort le 2 octobre. Vous en saurez davantage en lisant le message ci-dessus.

Il vous faudra patienter jusqu'à fin mars 2012 pour découvrir le second, "les Mystères d'Eure-et-Loir", le temps pour l'éditeur De Borée de le mettre en page ; ce sera un ouvrage à caractère historique d'environ 400 pages évoquant une quarantaine d’évènements authentiques TRèS insolites, peu connus, voire même pour plusieurs restés inconnus, survenus en Eure-et-Loir, de l'an 1064 à nos jours. On reste le plus souvent dans la grande Histoire, mais vue sous un angle inhabituel : qu'ont fait le prince de Condé et le duc de Guise au soir de la bataille de Dreux de 1562 ? Pourquoi quatre cents morts pour une affaire de harengs en pleine Beauce ? Charlemagne avait-il effectivement "oublié" un verre à Châteaudun ? Jean Valjean est-il né non loin de Chartres ? etc. Christian Lefort s'est chargé des illustrations avec talent et humour ; en voici une des plus représentatives... 

L'année du silence...

Mon dernier message annonçait une nouvelle enquête de l'inspecteur Sourbet... C'était il y a un an. Depuis, hélas ! l'ami qui m'inspira ce fameux inspecteur s'en est allé... cet ami qui s'amusait de ses aventures romanesques et qui regrettait de ne pas les avoir (toutes) vécues... Il m'a laissé quantité de souvenirs ; suffisamment pour le retrouver dans de nouvelles énigmes afin de ne rien oublier de ce qui faisait sa si riche personnalité.
Salut, mon ami !